Sénestre (adj.) : se dit de la coquille des Mollusques Gastéropodes enroulée de sorte que, l'apex étant en haut et l'orifice tourné vers l'observateur, cet orifice soit à gauche de l'axe d'enroulement. Rares sont les espèces sénestres, ou les individus sénestres dans les espèces dextres.

Sessile (adj.) : se dit des animaux caractérisés par leur fixation à un support, par opposition à vagile.

Sinus anal (n. m.) : échancrure sur le labre de certains Gastéropodes, formée par la présence des siphons qui expulsent l’eau et les déchets. Parfois remplacée par un orifice au travers de la coquille.

Siphon (n. m.) : tube respiratoire inhalant, formé par la cavité palléale des Gastéropodes, fréquemment abrité par un canal siphonal dans la coquille.

Spire (n. f.) : chez les Gastéropodes, ensemble du test, à l'exception du dernier tour.

Suture (n. f.) : chez les Gastéropodes, ligne de démarcation entre deux tours consécutifs de la coquille.

Symbiose (n. f.) : types d’associations entre organismes dans la nature. Dans ce type d'association, également désignée sous le nom d’association symbiotique ou mutualiste, les deux organismes sont physiologiquement indépendants mais ils assument en revanche, l’un vis-à-vis de l’autre, un rôle assimilable à une fonction organique. Leurs survies respectives sont interdépendantes.

Sympatrique (adj.) : se dit stricto sensu d'espèces voisines dont les aires de répartition coïncident au moins partiellement mais qui ne s'hybrident pas pour des motifs généralement génétiques. Par extension, se dit d'espèces vivants au même endroit même si elles ne sont pas voisines ou jumelles.

Syntype (n. m.) : tout spécimen d'une série type dans laquelle aucun holotype n'a été désigné jusqu'à présent. Quand un syntype est sélectionné pour être le spécimen type, celui-ci devient le lectotype. Les spécimens restants sont connus sous le nom de paralectotypes.